Dans un dîner d’affaires, ce sont les employés les plus performants ou les plus hauts dans la hiérarchie qui s’assoient à la table des dirigeants. Mais à la table de Dieu, c’est notre filiation spirituelle qui nous donne une place d’honneur.
Il est facile de penser à Dieu et de reconnaître son règne lorsque nous sommes à notre assemblée dominicale. Mais pendant la semaine, à notre travail ou pendant nos loisirs, prenons-nous le temps de reconnaître sa souveraineté?
Combien de mauvaises décisions prenons-nous parce que nous réagissons à la peur? Peur de perdre, peur de manquer, peur du jugement des autres… Attention! La voix de la peur peut enterrer la voix du St-Esprit, et voler notre paix.
C’est sûrement une des premières phrases qu’un enfant formule. “Moi capable”, lancera un bambin en repoussant l’aide de ses parents pour s’habiller, manger ou se laver. Même adultes, nous gardons trop souvent cette fâcheuse attitude.
Scénario classique : nous commençons à nettoyer notre cuisine et nous recevons l’appel d’un ami. Une heure plus tard, notre nettoyage n’a pas avancé. Être capable de terminer ce que nous entreprenons est pourtant un atout essentiel au succès.
Faire ce que Dieu veut est bien sûr très important. Mais Dieu ne veut pas de petits robots. Il veut aussi que nos actions soient accompagnées d’une bonne attitude.
“Oh! Ses paroles sont outrageuses! Son inaction m’a vraiment blessé!” Certaines personnes sont très sensibles et réagissent fortement à toutes sortes d’interactions. Mais attention, derrière le sentiment d’être offensé se cache parfois de l’orgueil.
En fréquentations, nous avons souvent peur que cette relation se termine dramatiquement. Alors, nous marchons sur des œufs. Or, si nous fixons nos yeux sur le Seigneur, nous trouverons le courage nécessaire pour être nous-mêmes.
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